L’astrologie vivante a éclairé et éclairera toujours les pédagogues authentiques. La lumière, la chaleur, l’amour, la vie sont symbolisés par l’alphabet astrologique, que sont le zodiaque, le soleil et ses planètes. Toutes ces sources de vie jailliront tôt ou tard à travers toutes les créatures, « de ton sein couleront des sources d’eau vives » cette lumière invisible à l’œil physique, est une matière lumineuse qui possède ses quatre états, solide, liquide, gazeux et igné. La lumière intérieure dans son domaine est plus solide et résistante que tout ce qui est connu dans notre domaine visible et concret. L’eau coule comme des cascades, des rivières, des courants lumineux parcourent la surface de notre terre, quels mots trouver pour exprimer la splendeur de cette réalité ! Cette réalité inexistante pour les humains, enveloppés par les couches épaisses, opaques de leur vie intérieure, les autorise à pondre des philosophies, Ô combien subjectives, limitées, illusoires et sclérosantes.
Le rayonnement lumineux des créatures qui peuplent les mondes invisibles est semblables à la force des vents terrestres, à des champs de forces magnétiques.
La chaleur dont parle les alchimistes authentiques est une source, un vent, un hymne d’amour universel qui parcourt l’univers. Pourquoi ne pas aller dans ce sens là ?
Les signes du zodiaque sont des indices, des symboles, un point de départ d’une richesse indescriptible. Comme le soleil « cette pierre que les bâtisseurs ont rejetée, est devenue la pierre de l’angle »
L’homme est bien une créature de lumière, tous les systèmes, organes et éléments qui le composent sont constitués d’atomes de lumière à l’instar de l’aura, ce système aurique qui le compose et le définit.
Sa vie intérieure est une superposition, un emboîtement, un enchevêtrement de liens de lumières.
La vie qui anime toutes les hiérarchies célestes jusqu’à l’homme lui-même se doit d’imprégner en cascade toutes les actions et décisions humaines.
Les grands frères de l’humanité ont été suffisamment éloquents sur la marche à suivre et affirment inlassablement qu’il n’y a point de salut, de bonheur, de prospérité de comportement sage et intelligent, sans la volonté de rétablir le lien avec ce que nous appelons les cieux, la vie divine, la vie avec un grand « v », dans laquelle nous nous mouvons et avons notre existence.
Pourquoi l’homme refuse-t-il la lumière, la beauté ? La résistance est farouche, il scie en permanence les branches de la vraie vie, en somme il coupe ses propres et véritables racines. Ce n’est qu’au moment de son départ, qu’il prend parfois conscience de sa terre natale, de ses racines, il en oublie même momentanément la réalité le souvenir de la vie terrestre.
L’astrologie active, vivante ouvre son livre de la vie, instruit deux catégories d’hommes et de femmes ceux et celles qui ont suffisamment souffert dans les régions inférieures et limitées de la nature humaine et ceux qui se sont exposés avec espérance, foi et amour aux rayons vivifiants de l’amour divin.
La terre est une merveille, tout ce qui nous entoure dépasse l’entendement, l’imagination bien souvent crépusculaire de l’humanité. Le petit ciel intérieur de chacun a perdu ses étoiles, l’astronomie intérieure n’a pas encore vu officiellement le jour.